Rénovation intérieure

Septembre 2004 à mars 2005 rénovation intérieure

Après la rénovation extérieure, se posait la question de la rénovation intérieure. Le Père Jacques Habert, nommé curé de Charenton, soutint le projet de l'AACC qui visait une rénovation globale. Compte tenu des impératifs budgétaires fixés par le diocèse répartissant la charge financière de façon tripartite (diocèse, paroisse, AACC)  il accepta de faire un prêt à l’association pour finaliser le projet qui comprenait notamment la consolidation des voûtes, le ravalement intégral, une nouvelle installation électrique incluant un éclairage approprié, la rénovation des peintures murales, la restauration de certains vitraux, la mise en place de nouvelles serrureries et la réhabilitation du parquet. La Fondation du patrimoine apporta aussi une subvention.

 

Les travaux commencèrent par le nettoyage des plafonds, des murs et des colonnes. 

Sur les conseils de la Fondation du patrimoine, le procédé classique de ravalement par sablage des pierres dut être abandonné dès l’origine, car il nécessite une grande quantité d’eau susceptible d'endommager le bâtiment. On décida donc d’employer une nouvelle technique qui avait été utilisée lors de la restauration de la basilique Notre-Dame de la Garde à Marseille, à savoir de badigeonner avec un polymère les surfaces à rénover, d’attendre qu’il sèche et durcisse pour ensuite l’enlever comme une  peau.

L'entourage des vitraux, la clé de voûte et les peintures du chœur, les autels du Saint-Sacrement, de saint Joseph et de sainte Madeleine Sophie Barat ont été nettoyés et restaurés par l'équipe de Véronique Méhut.

   

L'Atelier Vitrail, de Lavina Felzine, a nettoyé et réparé les vitraux de Roger-Calixte Poupart et le vitrail de la Présentation de la Vierge au Temple.

 

 

En dernier lieu, le parquet de chêne a été traité et vitrifié.

 

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